La production a commencé, les monstres de métal montent deja haut dans le ciel et l'air commence à etre embrumé par la pollution de plus en plus pesante.
De gigantesques puits sont creusés ou chaque jours tombent des dizaines d'ouvriers dont jamais plus l'on entend parler. La force réside dans la discipline et l'impassibilité.
Les robots surpuissants qui déplacent à eux seuls l'infrastrcture planétaire laissent parfois place sur des dizaines d'hectares aux champs de ruines intoxiquées par le deutérium rejeté. Sans oublier les habitations, un dédale de cavernes creusées dans la pierre ou à même le sol, allant parfois jusqu'au fond des abysses.
Danger mortel, rouille et boue, travail de force sans répit, les contre maitres ne laissent aucune marge d'erreur aux serviteurs.
Le labeur ou la mort !
Un seul lieu se détache du paysage sombre et menaçant : une montagne impressionante au sommet de laquelle se dresse dans un paysage enneigé, un immense temple de pierre qui semble gelé depuis des millénaires.
Bienvenue dans la demeure du seigneur Glacius, le barbare mythique, descendant des grands seigneurs barbares de jadis.
Sa renomée est faite de grandes batailles interplanétaires remportées au milieu du vacarme des vaisseaux de guerre.
Vous voici arrivé dans son univers : le temple glace.
Prenez garde ou vous mettez les pieds, la vapeur vous cache mille pièges parmi les robots hostiles et les serviteurs des dieux barbares, vous n'avez aucune chance de survie si vous ne jurez pas dans la souffrance allégance aux dieux et au titan qui gouvernent cette planète.
Soyez marqué du sceau des barbares, et vivez à jamais dans les cendres et la fournaise des chantier spatiaux, sachez briller à la bataille pour devenir à jamais une légende chez les barbares et gagner un minimum de respect.
Une planète entièrement de metal et de rocs, les marres de deutérium et les stations de forages y sont en abondance et font trembler la terre dans un fracas terrible qui ferait frémir n'importe quel homme civilisé.
Te voici la ou tes pires cauchemars eux même n'auraient pu t'emener : la planète rouge